Nous remontons dans le bus et sommes tout excités d’aller maintenant … nous baigner dans la mer morte !
Nous voici donc au bord de la mer morte, dans un endroit visiblement aménagé pour recevoir des cars de touristes : il y a des vestiaires, des douches, des buvettes ! Au moment d’enfiler mon maillot de bain, j’ouvre le sac censé le contenir et me rends compte que j’ai pris celui … des cartes postales : pas de maillot ! Donc retour au car pour prendre ce qu’il faut, puis retour aux vestiaires … pfff : faut vouloir y aller !
En partant, une fois correctement vêtue, Rafi m’appelle de loin pour que je lui laisse mon sac. Il en a déjà tout un amoncellement autour de lui, et comme une idiote, je ne pense pas à le prendre en photo au milieu de ce souk ! Je descends donc, et après avoir déposé mon paréo et mes chaussures auprès de Ghislaine Mattras, je rentre dans l’eau.
Première impression : bof. Et puis je fais 2-3 pas supplémentaires, et me retrouve littéralement aspirée jusqu’au genou dans un grand trou de boue… je tombe avec un grand splash, ce qui est très dangereux au cas où quelqu’un recevrait une goutte dans l’œil, et n’ai que le réflexe de lever l’appareil photo le plus haut possible afin de ne pas le mouiller ! Du coup, je l’ai passé à Edgar qui se bidonnait en me voyant, depuis le bord : je n'aurai pas beaucoup de photos de la trempette, mais tant pis ... J’ai ensuite essayé de me mettre à faire la planche, mais ce n’est pas pour moi ce truc, même si c’est rigolo, parce que je ne tiens pas longtemps à cause de mon cou ! Bref, je me suis enduite de boue, ai barboté 5 mn puis suis sortie me doucher. Pendant ce temps-là, Guillaume et Christophe s’étaient totalement enduits de boue, plutôt drôles à voir : on aurait dit des statues de bronze ! Et c’est vrai qu’ensuite, nous avons la peau toute douce, même ces messieurs ...
à suivre : Almog
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